DUHAIME CÉLÈBRE LA FIN DE L’UNANIMISME À L’ASSEMBLÉE NATIONALE

Québec, le 05 février 2025

Le Parti conservateur du Québec salue la fin de l’unanimisme contre le gaz naturel et contre les oléoducs à l’Assemblée nationale.

Le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, a déposé (conjointement avec le député d’Arthabaska, Éric Lefebvre) une motion pour relancer le projet GNL Québec — un investissement estimé à 14 milliards $ dans un complexe de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay — et pour réévaluer la construction d’oléoducs sur le territoire québécois.

« C’est un grand jour. Pour la première fois depuis 2021, ce sujet est discuté à l’Assemblée nationale. C’est dommage qu’il ait fallu une guerre commerciale avec les États-Unis pour nous faire réaliser l’importance d’être autonomes en matière énergétique et de diversifier nos marchés », a affirmé le chef conservateur, Éric Duhaime.

Le gouvernement rejette la motion

« J’ai été consterné de voir la CAQ et le PQ refuser de débattre de projets qui permettraient de réduire notre dépendance énergétique face aux États-Unis et qui seraient excellents pour le développement économique du Québec », a déclaré le chef conservateur.

Selon lui, cette décision est d'autant plus incohérente que, la veille, François Legault avait affirmé qu'en présence d'acceptabilité sociale, il serait prêt à réexaminer la faisabilité de GNL Québec. La ministre fédérale des Affaires étrangères, Mélanie Joly, avait également tenu des propos similaires devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

« François Legault, en refusant de réévaluer sa position sur GNL Québec, en refusant de reconnaître l’importance de la collaboration entre les provinces dans cette guerre économique, se contredit, en plus de ramer dans le sens inverse d’à peu près tous les pays développés qui cherchent à diversifier leurs exportations », a-t-il dit.

Le Parti conservateur du Québec rappelle trois raisons fondamentales pour lesquelles la motion aurait dû être approuvée :

• Réduire notre dépendance envers les États-Unis. Il est primordial de diversifier nos marchés afin d'assurer notre sécurité économique et énergétique pour réduire notre dépendance envers les États-Unis.

• Avec un déficit de 11 milliards de dollars, le gouvernement du Québec doit explorer de nouvelles avenues pour accroître ses revenus, sans alourdir le fardeau fiscal des contribuables.

• Deux sondages SOM/KYK démontrent que les Saguenéens sont près de deux fois plus nombreux à appuyer la relance du projet GNL Québec qu’à s’y opposer.

• Selon un sondage IPSOS, 78 % des Québécois préféreraient importer leur pétrole de l’Ouest canadien, plutôt que des États-Unis ou ailleurs dans le monde.

-30-

DUHAIME CÉLÈBRE LA FIN DE L’UNANIMISME À L’ASSEMBLÉE NATIONALE

Québec, le 05 février 2025

Le Parti conservateur du Québec salue la fin de l’unanimisme contre le gaz naturel et contre les oléoducs à l’Assemblée nationale.

Le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, a déposé (conjointement avec le député d’Arthabaska, Éric Lefebvre) une motion pour relancer le projet GNL Québec — un investissement estimé à 14 milliards $ dans un complexe de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay — et pour réévaluer la construction d’oléoducs sur le territoire québécois.

« C’est un grand jour. Pour la première fois depuis 2021, ce sujet est discuté à l’Assemblée nationale. C’est dommage qu’il ait fallu une guerre commerciale avec les États-Unis pour nous faire réaliser l’importance d’être autonomes en matière énergétique et de diversifier nos marchés », a affirmé le chef conservateur, Éric Duhaime.

Le gouvernement rejette la motion

« J’ai été consterné de voir la CAQ et le PQ refuser de débattre de projets qui permettraient de réduire notre dépendance énergétique face aux États-Unis et qui seraient excellents pour le développement économique du Québec », a déclaré le chef conservateur.

Selon lui, cette décision est d'autant plus incohérente que, la veille, François Legault avait affirmé qu'en présence d'acceptabilité sociale, il serait prêt à réexaminer la faisabilité de GNL Québec. La ministre fédérale des Affaires étrangères, Mélanie Joly, avait également tenu des propos similaires devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

« François Legault, en refusant de réévaluer sa position sur GNL Québec, en refusant de reconnaître l’importance de la collaboration entre les provinces dans cette guerre économique, se contredit, en plus de ramer dans le sens inverse d’à peu près tous les pays développés qui cherchent à diversifier leurs exportations », a-t-il dit.

Le Parti conservateur du Québec rappelle trois raisons fondamentales pour lesquelles la motion aurait dû être approuvée :

• Réduire notre dépendance envers les États-Unis. Il est primordial de diversifier nos marchés afin d'assurer notre sécurité économique et énergétique pour réduire notre dépendance envers les États-Unis.

• Avec un déficit de 11 milliards de dollars, le gouvernement du Québec doit explorer de nouvelles avenues pour accroître ses revenus, sans alourdir le fardeau fiscal des contribuables.

• Deux sondages SOM/KYK démontrent que les Saguenéens sont près de deux fois plus nombreux à appuyer la relance du projet GNL Québec qu’à s’y opposer.

• Selon un sondage IPSOS, 78 % des Québécois préféreraient importer leur pétrole de l’Ouest canadien, plutôt que des États-Unis ou ailleurs dans le monde.

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