Communiqué image LE PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC ANNONCE OFFICIELLEMENT LA CANDIDATURE D’ANGE CLAUDE BIGILIMANA DANS TERREBONNE.

LE PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC ANNONCE OFFICIELLEMENT LA CANDIDATURE D’ANGE CLAUDE BIGILIMANA DANS TERREBONNE.

Le Parti conservateur du Québec est fier d’annoncer qu’Ange Claude Bigilimana, ingénieur et conseiller en bâtiments d’origine rwandaise, portera les couleurs conservatrices dans la circonscription de Terrebonne, où il réside depuis plus de 10 ans.

Ange Claude Bigilimana a un parcours unique et inspirant. À l’âge de 11 ans, sa famille a fui le Rwanda pour échapper au génocide et à la guerre civile. Pendant sept ans, ils ont traversé l’Afrique à pied, allant d’un camp de réfugiés à un autre, avant de s’installer au Québec.

Mais M. Bigilimana refuse de se considérer victime : « C’est trop facile aujourd’hui de tomber dans la surenchère victimaire. Je suis fier du chemin que j’ai parcouru et je savoure chaque jour les opportunités que m’offre la terre d’accueil québécoise », a-t-il dit.

Sur le plan académique, M. Bigilimana est diplômé en sciences de la nature du cégep Montmorency et détient un baccalauréat en génie électrique de l’École de technologie supérieure, spécialisé en structure du bâtiment. Il est actuellement chargé de projets à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas et propriétaire d’une entreprise d’entretien ménager.

Vice-président national du Parti conservateur du Québec, M. Bigilimana s’implique activement dans la communauté de Terrebonne. Il est membre de la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins, du conseil d’administration du Réseau ÉTS, et du conseil d’administration du CPE de son quartier. Il préside également le conseil d’établissement de l’école locale et a siégé auparavant au comité de parents du CSSDA.

Lors de l’annonce de sa candidature, M. Bigilimana a déclaré vouloir défendre les intérêts des contribuables : « Je veux représenter les jeunes qui n’ont plus accès à la propriété, les aînés qui ont payé trop de taxes et d’impôts pour les services de santé rendus, et les parents qui s’opposent à l’idéologie woke dans nos écoles publiques », a-t-il affirmé, tout en accusant le gouvernement Legault de « vouloir plaire aux élites de Montréal avant d’écouter le vrai monde » sous les applaudissements des partisans conservateurs.

Communiqué image LE GOUVERNEMENT A LA BATTERIE À TERRE

LE GOUVERNEMENT A LA BATTERIE À TERRE

Alors que la session parlementaire se termine, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, constate que le bilan du gouvernement caquiste est marqué par le fiasco de la filière batteries.

« De Northvolt à Lion Électrique, en passant par Taïga ou Vision Marine, le gouvernement Legault a dilapidé les fonds publics et confirme, avec sa mise à jour économique, qu’il termine l’année avec le pire déficit de l’histoire du Québec à 11 milliards $ », dénonce le chef conservateur.

Aux yeux d’Éric Duhaime, le départ fracassant du député Youri Chassin du caucus de la CAQ illustre bien la perte de confiance des Québécois envers le gouvernement de la CAQ.

« Même en manipulant les chiffres, la CAQ est incapable de dissimuler son incompétence et confirme son déficit historique de 11 milliards $. Ce sont les prochaines générations qui devront payer la facture parce que ce gouvernement gaspille l’argent des contribuables, mais reste incapable d’augmenter les revenus de l’État autrement qu’en alourdissant le fardeau fiscal des citoyens », ajoute le chef conservateur.

De son côté, le Parti conservateur du Québec propose des baisses de taxes et d’impôts afin de stimuler une croissance économique indépendante du gouvernement. Pour financer cet allègement du fardeau fiscal, le PCQ suggère d’exploiter le gaz naturel, d’éliminer les subventions aux multinationales et de réduire le nombre de fonctionnaires.

« Les familles québécoises ont de plus en plus de misère à boucler leurs fins de mois. L’inflation frappe fort. Seul le Parti conservateur du Québec priorise de remettre de l’argent dans les poches des Québécois pour aider à payer l’épicerie, à renouveler l’hypothèque ou à se loger décemment. Nous sommes le Parti du contribuable », ajoute monsieur Duhaime.

Le Parti conservateur se félicite aussi d’avoir déposé deux mémoires, notamment celui rédigé dans le cadre de sa campagne « Mon Char, Mon Choix », en vue de contrer l’interdiction de la vente de véhicules hybrides et à essence.

« Le gouvernement ne peut obliger une famille qui peine à boucler son budget à s’acheter une voiture électrique à 79 000 $ ni à un travailleur en région de s’adapter alors que l’autonomie est limitée et que les bornes de recharge sont rares. C’est irresponsable, irréfléchi et illogique », a déclaré le chef conservateur.

Quant au constat de la progression des conservateurs chez les jeunes, monsieur Duhaime conclut : « c’est normal que la première génération à vivre plus pauvrement que ses parents, cherche des solutions concrètes à ses problèmes, et se tourne vers le seul parti qui souhaite rétablir l’équité entre les générations ».

Communiqué image DUHAIME PROPOSE UN PLAN AFIN DE SE PRÉPARER À L’ARRIVÉE DE DONALD TRUMP

DUHAIME PROPOSE UN PLAN AFIN DE SE PRÉPARER À L’ARRIVÉE DE DONALD TRUMP

Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, a présenté aujourd’hui des mesures que devrait mettre en place le gouvernement Legault afin de mieux préparer le Québec à l’arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

« En matière de sécurité à nos frontières, de contrôle de l’immigration illégale et de drogues, en particulier le fentanyl, le Canada doit évidemment montrer un front uni et collaborer avec nos voisins en vue d’éradiquer ces deux fléaux », lance monsieur Duhaime.

Là où les conservateurs s’inquiètent bien davantage, c’est sur le plan économique. Donald Trump a promis de réduire la taille de l’État américain, de réduire la réglementation, de réduire les taxes et les impôts des Américains.

« Les Québécois paient déjà beaucoup plus de taxes et d’impôts que nos voisins du Sud. Nous sommes déjà beaucoup plus réglementés. L’État québécois est aussi beaucoup plus gros. Si l’on ne fait rien, l’écart entre le Québec et les États-Unis ne va que se creuser, au désavantage du Québec. Nos entreprises seront moins compétitives. Les investisseurs seront encore plus incités à aller ailleurs. Une pression accrue s’exercera sur nos jeunes cerveaux pour quitter », s’inquiète le chef conservateur.

À titre d’exemple, Éric Duhaime cite une étude de l’Institut Fraser qui calcule le taux marginal d’imposition des Québécois, les plus taxés du continent, versus les Floridiens, les moins taxés du continent.

Pour un travailleur ayant gagné 50,000$ en 2023, le taux marginal d’imposition du Québécois est de 31,53% contre seulement 12% pour le Floridien. À 100,000$, c’est 36,12% de taux marginal d’imposition au Québec contre 22% en Floride. Finalement, avec un revenu imposable de 150,000$, le Québécois se retrouve avec un taux marginal d’imposition de 47,46% contre 24% pour le Floridien.

Selon le chef conservateur, le Québec doit préparer un plan en vue d’être beaucoup plus compétitif au lendemain de l’arrivée du président Trump à la Maison-Blanche s’il souhaite éviter un exode des cerveaux et des capitaux.

Le Parti conservateur propose :

  • De réduire le nombre d’employés dans la fonction publique québécoise, comme le gouvernement s’y était engagé.
  • De revoir l’ensemble de sa réglementation en vue de ne pas désavantager les entreprises québécoises par rapport à celles américaines.
  • De réduire le fardeau fiscal des travailleurs et des entreprises d’ici afin de ne pas creuser davantage l’écart avec les Américains.
Communiqué image GIRARD CACHE UN DÉFICIT PIRE QUE PRÉVU

GIRARD CACHE UN DÉFICIT PIRE QUE PRÉVU

À la suite de la mise à jour économique du ministre Eric Girard qui va hausser les impôts sur les travailleurs et les épargnants, le Parti conservateur du Québec demande à François Legault de remanier son Conseil des ministres, d’écarter Éric Girard et de convoquer des États Généraux Budgétaires pour dégraisser l’État et assainir les finances publiques du Québec.

Le porte-parole en matière d’économie du PCQ, M. Adrien Pouliot, s’est dit très sceptique face aux prévisions pour le reste de l’année et ne croit pas que le ministre réussira à contenir le déficit à l’intérieur des 11 milliards prévus il y a six mois.

« Depuis le début de son mandat à titre de ministre des Finances, Éric Girard s’est trompé à maintes reprises dans ses prévisions budgétaires : en novembre 2023, il prévoyait un déficit pour 2023-2024 de 4 milliards, puis en mars 2024, nous étions rendus à 6,3 milliards, puis ce fut 7,5 milliards pour finir à 8 milliards. Pour l’année 2024-2025, le ministre avait initialement prévu un déficit de 3 milliards, mais il a plutôt déposé un budget marqué par un déficit record de 11 milliards. Peut-on vraiment croire le ministre sur son déficit record de 11 milliards annoncé pour cette année, alors qu’il s’était trompé de 366% en seulement 4-5 mois ? »

M. Pouliot se désole de voir que les dépenses augmentent plus vite que l’inflation alors que les Québécois, eux, doivent se serrer la ceinture pour boucler leur budget. Il souligne aussi que le ministre utilise 750 millions de dollars du coussin d’urgence pour imprévus pour maquiller ses mauvaises prévisions. « Un imprévu, ce n’est pas quelque chose que le ministre n’a pas prévu par aveuglement volontaire ou incompétence. »

M. Pouliot a aussi souligné la dépendance grandissante du Québec à la péréquation reçue d’Ottawa. Il craint que les agences de crédit ne mettent à exécution leur menace de décote du Québec. Celles-ci avaient été claires il y a six mois : pour garder sa cote de crédit, le gouvernement devait reprendre le contrôle de ses dépenses. S&P avait alors dit s’attendre à ce que le gouvernement remédie « rapidement » aux problèmes budgétaires et migre progressivement vers des déficits modestes, à la faveur d’une reprise économique et malgré les tentations électoralistes des prochaines élections.

Le Parti conservateur du Québec demande à nouveau au premier ministre de remanier son Conseil des ministres au plus vite afin d’enlever Éric Girard avant qu’il ne cause plus de dommages à nos finances publiques et à la crédibilité financière du Québec. Le Parti demande aussi au Premier ministre de convoquer des États Généraux Budgétaires pour rapidement assainir les finances publiques et atteindre sans délai un budget équilibré.