La réputation du Québec dans le secteur énergétique : un désastre signé François Legault

Québec, le 20 février 2025

Au lendemain de sa visite dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, déplore que François Legault ait détruit la réputation du Québec dans le secteur énergétique. Il appelle le gouvernement à agir rapidement pour rectifier la situation.

Lors de son passage à Saguenay, le chef conservateur a rencontré, notamment, des représentants de la Chambre de commerce et d’industrie Saguenay-Le Fjord, de Rio Tinto, ainsi que du Port Saguenay.

M. Duhaime constate que, malgré un fort appui des acteurs locaux et une acceptabilité sociale évidente, les promoteurs ont perdu confiance en ce gouvernement.

« François Legault a détruit la réputation du Québec. On ne peut pas appuyer un projet d’investissement dans une usine de GNL, puis adopter une loi interdisant l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, se retrouver devant les tribunaux face aux promoteurs, puis espérer qu’ils reviendront par la suite », a dénoncé Éric Duhaime.

L’investissement de 14 milliards de dollars à Saguenay aurait permis de générer des centaines de millions de dollars annuellement pour le Gouvernement du Québec, et de créer entre 2 000 et 4 000 emplois bien rémunérés durant la phase de construction. Quant au gaz naturel du Québec, il aurait permis d’éliminer la totale dépendance du Québec envers les États-Unis et l’Ouest canadien, qui nous coûte deux milliards de dollars par année et met en danger notre sécurité énergétique.

Le PCQ propose trois mesures pour redorer la réputation du Québec dans le secteur énergétique :

1. Annuler la Loi visant principalement à mettre fin à la recherche et à la production d’hydrocarbures ainsi qu’au financement public de ces activités.

2. Publier une politique énergétique ambitieuse visant l’autonomie énergétique du Québec, en appuyant :

o Le développement d’usines de liquéfaction de gaz sur l’ensemble du territoire.

o La construction de gazoducs et d’oléoducs.

o Un cadre réglementaire clair et incitatif pour encourager le développement du secteur énergétique.

3. Négocier avec les entreprises qui poursuivent le gouvernement en vue d’en arriver à une entente afin de leur permettre de reprendre leurs activités.

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La réputation du Québec dans le secteur énergétique : un désastre signé François Legault

Québec, le 20 février 2025

Au lendemain de sa visite dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, déplore que François Legault ait détruit la réputation du Québec dans le secteur énergétique. Il appelle le gouvernement à agir rapidement pour rectifier la situation.

Lors de son passage à Saguenay, le chef conservateur a rencontré, notamment, des représentants de la Chambre de commerce et d’industrie Saguenay-Le Fjord, de Rio Tinto, ainsi que du Port Saguenay.

M. Duhaime constate que, malgré un fort appui des acteurs locaux et une acceptabilité sociale évidente, les promoteurs ont perdu confiance en ce gouvernement.

« François Legault a détruit la réputation du Québec. On ne peut pas appuyer un projet d’investissement dans une usine de GNL, puis adopter une loi interdisant l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, se retrouver devant les tribunaux face aux promoteurs, puis espérer qu’ils reviendront par la suite », a dénoncé Éric Duhaime.

L’investissement de 14 milliards de dollars à Saguenay aurait permis de générer des centaines de millions de dollars annuellement pour le Gouvernement du Québec, et de créer entre 2 000 et 4 000 emplois bien rémunérés durant la phase de construction. Quant au gaz naturel du Québec, il aurait permis d’éliminer la totale dépendance du Québec envers les États-Unis et l’Ouest canadien, qui nous coûte deux milliards de dollars par année et met en danger notre sécurité énergétique.

Le PCQ propose trois mesures pour redorer la réputation du Québec dans le secteur énergétique :

1. Annuler la Loi visant principalement à mettre fin à la recherche et à la production d’hydrocarbures ainsi qu’au financement public de ces activités.

2. Publier une politique énergétique ambitieuse visant l’autonomie énergétique du Québec, en appuyant :

o Le développement d’usines de liquéfaction de gaz sur l’ensemble du territoire.

o La construction de gazoducs et d’oléoducs.

o Un cadre réglementaire clair et incitatif pour encourager le développement du secteur énergétique.

3. Négocier avec les entreprises qui poursuivent le gouvernement en vue d’en arriver à une entente afin de leur permettre de reprendre leurs activités.

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